20 Aug 2025
Dusan Vlahovic et la Juventus, c’est un peu comme un couple dont la flamme s’éteint lentement, non pas à cause d’un caprice amoureux mais plutôt à cause d’une crise économique qui fait grincer les dents au sein du club turinois.
Arrivé à Turin en 2022 après avoir mis la Serie A en émoi avec la Fiorentina, Vlahovic était en quelque sorte le prince héritier de l’attaque bianconera. Cependant, à 25 ans, notre attaquant serbe se retrouve dans une situation cocasse : il empocherait près de 12 millions d’euros par saison, soit environ 1 million d’euros par mois, un salaire à faire pâlir les plus riches des magnats du football.
Pour la Juventus, qui n’est pas exactement en bonne santé financière, maintenir un tel salaire pour un joueur qui n’est plus sur la liste des titulaires indiscutables, c’est un peu comme remplir un seau troué d’eau : on ne fait que gaspiller. Le club rêve donc de se séparer de Vlahovic avant la fin du mercato, afin de soulager sa masse salariale et de réaliser un transfert estimé à plus de 40 millions d’euros, une somme qui pourrait faire un peu de magie sur le bilan comptable.
Du côté du joueur, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Vlahovic n’a aucune raison de se précipiter pour quitter le navire : il profite d’un contrat en or et, même si la concurrence se durcit avec l’arrivée de Jonathan David et la potentielle venue de Randal Kolo Muani, notre attaquant semble prendre son temps, comme un chat paresseux qui s’étire au soleil.
La pression repose majoritairement sur les épaules de la Juventus, telle une momie dans un coffre-fort qui se sent de plus en plus à l’étroit. « Dusan Vlahovic est un gros problème. C’est un problème pour la Juve, pas pour Vlahovic. Il touche un million d’euros chaque mois. Le seul souci pour lui, c’est que c’est une année de Coupe du Monde : s’il ne joue pas, il risque de le payer sportivement », relève un journaliste, observant la situation avec des yeux perçants.
Si la Juventus ne parvient pas à trouver un terrain d’entente, elle court le risque de voir Vlahovic partir libre à la fin de la saison, sans aucune compensation, comme un coureur qui quitterait la ligne d’arrivée avant même le signal. Ce serait un véritable camouflet pour un club qui avait placé tellement d’espoir en lui, surtout quand on songe que le joueur pourrait devenir le troisième choix en attaque, non pas sur le podium, mais dans l’ombre.
Depuis son arrivée, Vlahovic n’a pas totalement brillé comme une étoile filante dans le ciel de Turin : après une première demi-saison qui laissait entrevoir de belles choses, il a peiné à se maintenir au niveau des attentes. Lors de la saison 2024-2025, il a réussi à inscrire seulement 11 buts en Serie A, un chiffre qui fait frémir, surtout lorsqu’on le compare à ses exploits florentins.
Pour la Juventus, l’équation est aussi limpide qu’un verre d’eau : il faut trancher avant la fin du mercato. Soit Vlahovic retrouve une place de choix sur le champ de bataille et justifie son contrat en or, soit un transfert s’impose pour éviter un naufrage financier. Pour le joueur, la seule réelle menace pourrait bien être un manque de temps de jeu à l’approche de la Coupe du Monde, une pression qui pourrait, qui sait, précipiter la résolution de ce feuilleton turinois.
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Passionné par la Juventus depuis toujours, je partage ici mon amour pour la Vieille Dame. Analyses tactiques, rumeurs de mercato, et anecdotes historiques : je vous propose un regard éclairé sur l'actualité du club turinois. Plongeons ensemble dans l'univers de l'un des plus grands clubs de football au monde !
