27 Jun 2025
Dans un spectacle aussi piquant qu’un duel entre gladiateurs, la dernière rencontre entre la Juventus et Manchester City au cœur de la Coupe du Monde des Clubs a fait ressembler l’équipe turinoise à un navire en perdition. Igor Tudor, à la barre, a fait basculer le sort de son équipage en effectuant des changements de lineup qui ont fait trembler les fondations de la Vecchia Signora, entraînant une défaite 5-2 flamboyante.
En empruntant le chemin côtier de la roulette russe, Tudor a décidé de remanier son équipe de départ, la transformant en un puzzle difficile à assembler. Il a opté pour sa formation fétiche en 3-4-2-1, mais avec un assortiment pour le moins inattendu. Filip Kostic, fraîchement débarqué de son emprisonnement au Fenerbahce, a fait son entrée dans le XI, tandis qu'Alberto Costa s'est aventuré sur le flanc droit comme un nouveau héros dans une pièce de théâtre tragique. Malheureusement, ces choix n'ont pas été les petites briques qui construisent un grand édifice, mais plutôt des fissures dans les murs du jeu de la Juventus.
Malgré des débuts prometteurs dans le tournoi, où des talents comme Randal Kolo Muani et Keenan Yıldız se sont révélés brillants comme des étoiles filantes, les réformes de Tudor ont sapé la dynamique de l’équipe. En laissant Manuel Locatelli sur le banc, tout juste remis d'une blessure, il a manqué une pièce maîtresse pour le milieu de terrain, transformant la samba collective en une danse maladroite.
De l’autre côté du ring, Manchester City a aligné une formation plus solide qu’un château de pierre, avec des guerriers comme Ederson, Rúben Dias et Phil Foden retrouvant leur place dans l'arène. Cet ancrage de stabilité a permis aux Citizens de faire tourner le match à leur avantage, dominant la rencontre comme un lion s’attaquant à une gazelle affaiblie.
Les choix de lineup d'Igor Tudor ont agi comme un coutelas tranchant dans la bataille de cette rencontre. Bien que l'ambition fut de donner du repos à certains joueurs, ces modifications ont mis à nu les faiblesses de l’équipe, laissant Manchester City s’emparer du contrôle. Cette défaite cinglante en forme de 5-2 sera sans aucun doute une leçon en or pour Tudor et son staff à l’aube des prochaines escarmouches. À méditer en pesant le poids des décisions sur le chemin de la rédemption sportive.
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Passionné par la Juventus depuis toujours, je partage ici mon amour pour la Vieille Dame. Analyses tactiques, rumeurs de mercato, et anecdotes historiques : je vous propose un regard éclairé sur l'actualité du club turinois. Plongeons ensemble dans l'univers de l'un des plus grands clubs de football au monde !
